Il s’agit de célébrer l’éternel cycle de la Nature : à l’instar du fumier qui fertilise le sol, ce qui semble être un déchet est promesse de vie. En s’inspirant du travail très graphique des peintres aborigènes d’Australie, l’artiste, qui travaille à partir de ce qui est jeté ou oublié, réalise un tapis de cellules sur un tas de fumier tassé par le temps. Le symbole du recyclage est présent dans la composition.